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LIFE OF CHUCK

Life Of Chuck

La vie extraordinaire d’un homme ordinaire racontée en trois chapitres. Merci Chuck !

Une œuvre extraordinairement maîtrisée qui réinvente les lignes du septième art.

DIRECTOR

Mike Flanagan

ACTRESSES AND MAIN ACTORS

Tom Hiddleston, Mark Hamill, Chiwetel Ejiofor

COUNTRY

USA

FILM BONHEUR
11 juin 2025
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ANNOUNCEMENT

THE BAND

CARRE AU FORMAT AFFICHE 120 x 160 - 330

DANSE, MUSIQUE, EMOTION

From 

16 ANS

THE POSTER

Alors que le monde paraît condamné, un enseignant Aremarque l'apparition de multiples panneaux de publicité remerciant Chuck, un comptable, pour ses trente neuf années...


-Thanks Mike !


À travers les nombreuses pages produites par un écrivain devenu au fil des années l'équivalent d'un vieil ami avide de nous partager son imaginaire où, souvent, le fantastique devient le parfait révélateur de nos peurs et travers hélas bien humains, "La Vie de Chuck" apparaissait déjà comme une nouvelle au caractère unique au sein du recueil "Si Ça Saigne" signé Stephen King.

Non pas que, dans les ingrédients utilisés (la mort, l'apocalypse, des apparitions étranges, une pièce mystérieuse, etc), cette nouvelle n'était pas en corrélation avec l'identité romancière et les différentes facettes de son auteur qui, lui-même, s'écarte parfois de ses chemins de prédilection pour bousculer nos attentes vis-à-vis de ses œuvres, mais il en émanait quelque chose de peut-être plus expérimental qu'à l'accoutumée par sa construction en trois actes à rebours, quelque chose d'à la fois plus dense et fragile émotionnellement par tout ce que King y mettait en place pour, au final, en faire une célébration métaphysique des instants-clés d'une vie forgeant l'univers d'un Homme sur la durée.


Bref, la plupart des lecteurs qui y avaient été sensibles le savaient: "The Life of Chuck" n'était pas une nouvelle comme les autres de la part de l'écrivain. Et le premier d'entre eux ne fut nul autre que Mike Flanagan, conscient de son propre aveu qu'il avait découvert là les bases d'un possible firmament de sa déjà brillante filmographie.

Avec déjà deux adaptations directes au compteur, le réputé justement inadaptable "Jessie" jusqu'à ce qu'il s'en empare brillamment et "Doctor Sleep" dont il avait su transcender un roman sequel mineur pour en faire une œuvre à la portée bien plus grande (surtout en version director's cut), une variation plus officieuse de "Salem" avec la minisérie "Sermons de Minuit" (impossible de ne pas y avoir des similitudes flagrantes) et, plus largement, un amour de King évident à travers ses diverses propositions, Flanagan ne pouvait en effet rêver mieux que "La Vie de Chuck" pour définitivement lier sa sensibilité à celle de King et l'amener vers un feu d'artifice cinématographique pouvant potentiellement se positionner parmi les sommets de la foule des longs-métrages inspirés des écrits de l'auteur.


Et ça n'a bien sûr pas loupé, "Life of Chuck" est tout simplement l'adaptation parfaite que l'on n'aurait osé rêver de cette nouvelle, d'une extrême fidélité mais réussissant l'exploit d'en intensifier encore plus l'impact et ses aspects les plus singuliers grâce à tout ce qui fait le génie d'approche de Flanagan.


-Nos Multitudes


Là où l'apocalypse devient celle d'un condensé de tout ce qui pourrait arriver de néfaste à notre Terre par nos agissements irresponsables et que l'on peine à digérer sous un flux continu d'informations alarmistes, incarnation d'un néant imminent prêt à engloutir chaque aspect de ce qui nous défini, nous, chaque être humain dans nos futilités et l'essence même des boussoles de nos vies. Accompagnée d'une mise en scène et d'une écriture juste géniales de rencontres au gré de déambulations et de l'objectif ultime d'être avec celui ou celle sans qui ces derniers moments n'auraient aucun sens.

Là où le son d'un rythme inattendu devient par hasard le début d'une danse endiablée exaltant toutes les fondations de notre moi réel enfouies sous des couches d'endoctrinements sociaux chargés de les étouffer. Avec une grâce formelle ne pouvant que nous donner de traverser l'écran et d'applaudir en osmose de l'immense éclat de lumière duquel jaillit une des plus belles séquences de danse vues au cinéma ces dernières années.

Là où tout ce qui façonne un jeune Chuck devient la causalité de tous les évènements précédents, là où l'héritage d'une géniale grand-mère dessine cette lueur d'espoir en la vie ne demandant qu'à être ravivée, là où l'amour transmis pour un art devient un phare capable d'aller à l'encontre de tous les clichés bien réels d'en environnement lycéen, là où une professeure (symboliquement interprétée par l'âme de soeur de Flaganan, et ce n'est bien entendu pas un hasard) transmet de façon absolument désarmante le leitmotiv de tout le long-métrage à travers la magnificence de sa lecture du "Song of Myself" de Walt Whitman (perso, mon moment préféré du film s'il ne fallait en choisir qu'un), là où la pièce inconnue d'une maison devient celle qui doit enclencher à vitesse grand V l'envie de goûter invariablement chaque seconde de notre présence sur Terre façon épée de Damoclès que l'on préfère sciemment éludée pour garder un minimum de raison, là...


- Vivez !


... où Mike Flanagan livre l'apogée de ce que peut être la transposition cinématographique d'une nouvelle de King, où ce cri désespéré d'un "Vivez !" peut-être a priori aussi innocent que simpliste perdu dans le bruit assourdissant de notre société est ici mis en piédestal comme jamais par l'intelligence et l'émotion d'un maître qui contrôle la voix de celle d'un autre pour l'exprimer à sa plus haute justesse.

On a souvent dit que Mike Flaganan était un grand au cours de nos critiques sur ses films, on avait juste oublié de préciser qu'il continue de grandir pour l'être encore plus qu'on ne l'avait imaginé.


-Oui, vivez ! "The Life of Chuck" vous en (re)donnera envie.

RedArrow (sur Allo-Ciné)

/ LA CRITIQUE

IT'S

YOUR HAPPINESS FILM!

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Life of Chuck est une escale cinématographique rare, un film qui ose la douceur, l’émotion, la contemplation. À travers une narration élégamment inversée, Mike Flanagan nous offre une réflexion sincère sur la vie, sa valeur et notre rapport au temps. Les performances d’ensemble, et tout particulièrement celle de Tom Hiddleston, illuminent ce voyage vers l’essentiel. Une œuvre qui réchauffe le cœur et invite, dès la sortie des salles, à partager émotions et discussions.
Gonzague Ansart De Lessan (sur Allo-Ciné)

D'où vient qu'on ressente une telle légèreté après ce film ? D'où vient qu'on ait digéré des scènes quasiment effrayantes d'une fin du monde tranquille et inéluctable ? D'où vient qu'on finisse les yeux et le cerveau embrouillés, mais comme illuminés ? D'où vient que Stephen King ait quelque chose à voir avec ce poème humaniste ? D'où vient cet émerveillement, cette douceur ?

On ne sait pas. D'ailleurs, Chuck ne sait pas non plus (il nous a contaminé). C'est ainsi. Tout est étrange avec et dans ce film. Adorateurs de suspense linéaire, militants de tous poils, fans d'action, de héros, de dieux, de violence... abstenez-vous ! Vous auriez du mal à accepter qu'on vous la fasse à l'envers, que l'univers commence par s'éteindre, qu'un business man foxtrotte pour une artiste de rue avant de s'éteindre, que l'enfant qu'il était apprit à danser avec sa grand-mère.

Ce film est un poème. Un poème à l'harmonie de l'homme dans le monde. "I contain multitudes" écrivait Walt Whitman (Chanson de moi-même) - le film nous fait (re)découvrir ce poète américain à la fin. On est l'autre en effet. Un autre soi-même ?

Par deux fois, on délire longuement sur le calendrier cosmique et sur la vérité des maths. Par deux fois aussi, de longues scènes de déhanchés et de pas chassés nous surprennent et nous emballent. Que veut dire tout cela ? Le narrateur nous explique, ou plutôt nous conte. Le narratif est d'ailleurs le personnage clé de tous les moments du film. Il est l'histoire, il est le conte. Il est ce long poème, tristement beau, violemment réaliste, qui célèbre un illustre inconnu (autant le comptable que le danseur), un certain Chuck.

Mais pourquoi sa fin de vie devient la blague virale de fin du monde en début de film ? On a sûrement tort de chercher à répondre à cette question qu'on se pose vingt-quatre heures après avoir vu et aimé ce film - question qui en illustrerait la morale (et notre résistance à l'accepter) : vit pleinement ta vie, ici et maintenant ; après, on sait pas.

Mais comme toute poésie, on accroche, ou pas. La poésie n'est jamais vraie. Elle est ambitieuse. De plus, réfléchissons : pourquoi se met-on à danser avec enthousiasme ? Pourquoi aime-t-on ce tableau, cette mélodie ? Une éventuelle réponse n'apporterait pas grand-chose. C'est un peu ce qui se passe avec ce film. Ne gâchons pas le plaisir qu'on a eu avec lui en s'interrogeant le lendemain !

Voilà un film qui nous aura sacrément surpris, d'autant qu'il est américain. On le serait peut-être moins si l'on connaissait le directeur, ce qui n'est pas le cas. On sent le perfectionniste ou l'artiste au bord de la folie...
garnierix (sur Allo-Ciné)

Un "Carpe Diem" imaginé par King et transposé sur grand écran via la vision et le talent de Flanagan.
Poétique, émouvant, qui donne des frissons et noue la gorge.
Une contemplation de la mort à travers des morceaux de vie, ordinaire pour les autres, extraordinaire pour celui qui l'a vécu.
Un film humaniste, qui fait du bien.
À voir absolument !
Ashere571B (sur Allo-Ciné)

3 chapitres, 3 moments, 3 instants de la vie de Chuck pour un film qui touche au cœur par sa délicatesse et son propos. 3 moments pour montrer combien nous sommes petits à l'échelle du monde, mais surtout, et ô combien plus rassurant, nous sommes grand à l'échelle de notre vie. 3 moments qui raconte ces petits instants éphémères que nous sommes les seules à voir comme des moments qui changent tout, de ce qui peut sembler être de petits rien, mais se révèlent les grands tout de notre vie. Et combien il est difficile de les raconter ensuite tant ils peuvent paraître désuet pour ceux qui ne les ont pas vécu. Un film qui raconte une vie et nous rappelle que nous en sommes le héros. Et qu'à ce titre, "je suis merveilleux, je suis vaste, et je contiens des multitudes"
johann garrault (sur Allo-Ciné)


Film magnifique, sublime, qui ne vous quitte pas, reste enraciné dans votre âme et votre coeur, qui vous pousse à vous interroger sur la vie, sur votre vie, sur l'instant présent, sur les souvenirs éternels des gens que nous avons aimés et qui nous ont façonnés, sur la lumière que l'on laisse derrière nous quand la vie touche à sa fin... Un film que j'ai vu plusieurs fois tellement les émotions que l'on ressent sont différentes d'une projection à l'autre. Un vrai bijou pour moi, à voir et à revoir !❤❤❤
Cécile C. (sur Allo-Ciné)

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