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MA MERE, DIEU ET SYLVIE VARTAN

Ma Mère, Dieu et Sylvie Vartan

En 1963, Esther met au monde Roland, petit dernier d’une famille nombreuse. Roland naît avec un pied-bot qui l’empêche de se tenir debout. Contre l’avis de tous, elle promet à son fils qu’il marchera comme les autres et qu’il aura une vie fabuleuse. Dès lors, Esther n’aura de cesse de tout mettre en œuvre pour tenir cette promesse. À travers des décennies d’épreuves et de miracles de la vie, ce film est le récit d’une histoire vraie, drôle et bouleversante, celle d’un destin incroyable et du plus grand amour qui soit : celui d’une mère pour son enfant.

Un hommage universel à toutes les mères

DIRECTOR

Ken Scott

ACTRESSES AND MAIN ACTORS

Leïla Bekhti, Jonathan Cohen, Joséphine Japy

COUNTRY

France

P'tit Bonheur
19 mars 2025
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ANNOUNCEMENT

THE BAND

CARRE AU FORMAT AFFICHE 120 x 160 - 330

PARENTS-ENFANTS, EMOTION, HANDICAP, HISTOIRE VRAIE

From 

13-15 ANS

THE POSTER

Il y a des films qu’on ressent. "Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan" fait partie de ceux-ci. Impossible d’y rester insensible : on rit, on pleure (sans prévenir), on se retrouve à sourire bêtement devant des scènes qui nous rappellent quelque chose d’enfoui. Et ça, c’est du cinéma vivant.


Ken Scott n’a pas cherché à en faire des tonnes, et c’est précisément ce qui rend son film aussi beau. Pas d’effets appuyés, pas de violons surjoués pour tirer la larme facile. Juste une mise en scène sobre, où chaque regard, chaque silence, chaque geste compte. Il capte l’essence des souvenirs, cette tendresse brute qui fait chavirer sans crier gare.


Et que dire du casting ? Leïla Bekhti, impériale en Esther Perez, mère aimante et obstinée, livre une partition magistrale. Jonathan Cohen, qu’on attend souvent dans la comédie pure, prouve ici qu’il a une profondeur inattendue. Son Roland Perez, tiraillé entre son rêve et son quotidien, est d’une sincérité troublante. Naïm Naji et Noé Schecroun, qui incarnent Roland à différentes étapes de l’enfance, sont d’une justesse émouvante. Lionel Dray, en père souvent dépassé, apporte une nuance touchante. Joséphine Japy donne à Litzie Gozlan une présence lumineuse, tandis que Jeanne Balibar et Anne Le Ny campent des figures d’autorité marquantes.


Et puis il y a Sylvie Vartan. Plus qu’une idole, elle devient une figure quasi mystique, un repère, une étoile guidant les espoirs d’un gamin qui refuse de laisser la vie lui dicter sa place. Sa présence est un souffle de nostalgie, un symbole d’évasion.


On ressort du film sonné, comme après une discussion nocturne où tout a été dit sans qu’on s’en rende compte. C’est une déclaration d’amour à ces rêves qu’on croit inaccessibles, mais qu’on porte en nous malgré tout. Une douceur qui s’accroche au cœur, longtemps après le générique. Éblouissant.

Le_Général (sur Allo-Ciné)

/ LA CRITIQUE

IT'S

YOUR HAPPINESS FILM!

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C’est bluffant, admirable, émouvant et tellement drôle. Le réalisateur réussit à déployer à l’écran une flopée d’émotions rares. Leila Bekhti figure incontestablement parmi les meilleures actrices françaises et ici l’émotion qu’elle parvient à retransmettre du début à la fin du film atteint un niveau paroxystique. Leila Bekhti alias Esther emporte donc tous les personnages très attachants de cette histoire par la magie du jeu des regards, des attitudes, des paroles des uns et des autres, des sourires et des larmes. Les échanges de dialogues sont toujours simples mais savoureux. Jonathan Cohen est très bon. Ce film est un bijou.
remyll (sur Allo-Ciné)

Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan ! J'attendais ce film avec impatience ayant une grande tendresse pour l'auteur dont c'est la propre histoire, l'avocat, journaliste et romancier Roland Perez. Ce parcours d'un "6ème enfant" né avec un handicap est tout simplement incroyable et pas besoin de spoiler pour parler du rôle grandiose qu'y a joué sa mère. Une mère courage, "chiante", jusqu'au boutiste qui a refusé de se cantonner au destin qu'on dessinait pour son fils. C'est une leçon de courage, de volontarisme, de combativité, de foi en ce que l'on fait qui m'a beaucoup parlée ! Et Leila Bekhti est impressionnante ! Foncez le voir
Nisrine A (sur Allo-Ciné)

Il y a beaucoup à dire sur Ma mère, dieu et Sylvie Vartan. On peut reconnaître la qualité de la réalisation, de la production, de la reconstitution du Paris de l'après-guerre et après-colonisation, de la plongée ethnico-historico-documentaire chez les sépharades des quartiers modestes, l'apparition de Sylvie Vartan avant et après, des effets spéciaux plutôt réussis, la figuration amusante d'Ariane Massenet venue nous rappeller en souriant ce bon vieux temps du Grand Journal, mais rien ne permet de décrire l'interprétation de Leïla Bekhti. Tous les superlatifs n'y suffiraient pas.
Leïla Bekhti investit son rôle, un personnage de mère abusive qui a la réputation méritée, d'ailleurs c'est montré dans le film, de fournir une large part de la clientèle des cabinets de psychanalyste, avec une fougue qui dépasse l'entendement. Je n'y ai pas échappé, il paraît impossible de garder l'œil sec pendant toute la durée de ce film à voir absolument. D'ailleurs, après avoir vu le film à l'UGC des Halles, je suis par hasard tombé sur Leïla Bekhti devant un cinéma à la sortie d'une probable présentation du film en public dans le 14 ème arrondissement, et encore sous le choc, je lui ai fait une déclaration. On ne peut maintenant qu'attendre son couronnement à la cérémonie des César.
Francis Garret (sur Allo-Ciné)

Un film émouvant que cette véritable histoire de Roland Perez, 6ème enfant d'une famille d'immigrés juifs marocains, que l'acharnement et l'amour débordant de sa mère propulsera, en surmontant douloureusement son handicap, à des fonctions de grand avocat, homme public et ami de Sylvie Vartan, l'idole de toute la famille, et qui plus est grâce aux chansons de laquelle, il a apprit à lire et échapper à la mise sous tutelle voulue par l'assistante sociale...
La profondeur du film repose aussi sur les liens étroits mère-fils, à la façon des mères juives qui veut tout régenter jusqu'à nuire à l'intérêt de l'adulte après avoir servi ceux de l'enfant
Globalement, c'est bien écrit, bien interprété, et on découvre sur la dernière partie la véritable Sylvie qui joue son propre rôle
Philippe C (sur Allo-Ciné)

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